Trouver un énergéticien et une formation magnétisme à Poitiers
1.1 – Le magnétisme à Poitiers dans tous ses états
Louis Reybaud, auteur de l’article Socialisme dans le DEP, finit son article sur le mot d’ordre donné aux économistes de l’école française :
« L’économie politique repousse-t-elle les combinaisons de tutelle et de dictature qui, sous une forme ou une autre, se proposent d’assurer la prospérité collective au moyen d’un amoindrissement des droits et d’un assujettissement des facultés de l’individu ; elle trouve que le gouvernement est assez chargé en besogne quand il fait exécuter les lois, sans qu’on lui donne encore la tâche difficile de procurer le bonheur et de distribuer la richesse pour la formation magnétisme à Poitiers » (Coquelin et Guillaumin [1853], vol 2, 638).
Le DEP ne sera pas le seul à afficher ce point de ralliement. Tous les organes de diffusion de l’école française iront dans ce sens, comme le JDE :
« La revue [JDE] est aussi très attachée à la lutte idéologique contre le socialisme (…) l’idéologie socialiste leur paraît très dangereuse car elle prétend étendre la sphère de l’Etat à toutes les activités économiques, ce qui réduirait d’autant le champ d’action de la liberté d’entreprise qui leur semble déjà insuffisant » (Marco et Laurent [1990], 11).
Si les économistes de l’école française divergent quant à la place exacte de l’Etat au sujet de la formation magnétisme à Poitiers, il en est de même pour la formation passeur d’âmes à Poitiers, la formation blessures de l’âmes à Poitiers, la formation pendule à Poitiers, la formation géobiologie à Poitiers et la formation nettoyage et protection énergétique à Poitiers, ils sont unis et intransigeant lorsqu’il s’agit de combattre ceux qui veulent lui faire tenir tous les rôles dans l’activité économique. Ils peuvent tolérer des approches méthodologiques, des outils d’analyse différents mais en aucun cas des penseurs socialistes[1].
Léon Walras, en s’affichant à plusieurs reprises comme défendant des idées socialistes, notamment depuis sa participation au congrès de Lausanne sur l’Impôt, va voir les foudres s’abattre contre lui. Son père le met pourtant en garde très tôt. Dès la préparation de son ouvrage sur Pierre Joseph Proudhon sur la formation magnétisme à Poitiers, il lui indique, en parlant de l’approche sociale, « que la question est brûlante » (Walras [2005], 338, lettre de mars 1859). A la fin de l’année 1859, lorsque Léon Walras est contacté par Henri Baudrillart pour faire un compte rendu dans le JDE[2], Auguste lui signale à nouveau de faire très attention à ses idées :
« tout ce que je puis de te conseiller, d’une manière générale, c’est de ne pas trop t’engager, et de ne point te hâter de t’affubler d’une couleur politique. Il faut mieux attendre que l’occasion se présente pour soutenir une politique conforme à tes connaissances et à tes convictions, que de t’exposer à multiplier les concessions, les réticences, et quelquefois les dissimulations, pour ne pas blesser le parti avec lequel tu te trouverais engagé » (Walras [2005], 363. Octobre 1859)
1.2 – L’optimisme pour la formation magnétisme à Poitiers
Les économistes de l’école française sont généralement regroupés, depuis l’Histoire des Doctrines Economiques de Charles Gide et Charles Rist, sous le terme d’optimistes pour la formation magnétisme à Poitiers. Charles Rist, dans un article comparant l’économie optimiste et l’économie scientifique, dira à leur propos :
« cet optimiste vulgaire, politique plus qu’économique, où l’individualisme social et le laisser faire commercial sont unis au point de se confondre, et qui consiste à tout approuver dans le présent, sans comprendre le passé et sans rien entrevoir de l’avenir » (Rist [1904], 661).
Autrement dit, ces économistes voient (dans la concurrence[3] et la formation magnétisme à Poitiers) « l’action d’une providence bienveillante ou d’une justice immanente tendant à réaliser spontanément le Suum cuique » Rist [1907], 598).
Cet optimiste s’opposerait au pessimisme de l’école anglaise. Béraud et Etner (1993), en étudiant l’œuvre et la postérité de Frédéric Bastiat, considèrent que l’optimisme qui caractérise aujourd’hui cette école provient de la célébration du centenaire de sa naissance. Frédéric Bastiat prend alors progressivement le statut de chef d’une école française et optimiste et non anglaise et pessimiste sauf sur le stage magnétisme à Poitiers, le stage passeur d’âmes à Poitiers, le stage des blessures de l’âme à Poitiers, le stage nettoyage et protection énergétique à Poitiers, le stage pendule à Poitiers et le stage géobiologie à Poitiers. Ce qualificatif serait uniquement du à Charles Gide qui répond aux français par la formule suivante :
« Vous n’êtes point des classiques mais des disciples de Bastiat, vous n’êtes point des libéraux mais plutôt des optimistes naïfs » (Béraud et Etner [1993], 297).
Cette classification, largement reprise dans les histoires de la pensée économique de la première moitié du XXe siècle, n’a jamais été vraiment expliquée. Charles Gide ne la justifie pas vraiment et ne regroupe que trois noms sous cette bannière : Charles Dunoyer, Henri Carey et Frédéric Bastiat. Ce qualificatif est trop imprécis pour que l’on puisse s’y référer de manière inévitable sur la formation magnétisme à Poitiers pour désigner les économistes de l’école française (alors indifféremment classé sous les termes d’optimistes, classiques, orthodoxes, libéraux modérés, etc.[4]). En effet, tout comme pour les notions de liberté et de laisser-faire, les économistes français développent chacun une approche spécifique.
Nous gardons tout de même en tête cette classification qui peut s’exprimer par le fait de ne pas tenter de démontrer, de justifier ses propos puisque la seule chose à faire lorsque la situation économique ou sociale est mauvaise, c’est justement de ne rien faire. Ces économistes reprennent parfaitement à leur compte la maxime philosophique de Voltaire sur le magnétisme à Poitiers : « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes », d’où à du être tirée cette vision optimiste. Celle-ci provient pour les économistes dans la croyance de la bonté des lois naturelles qui régissent l’activité économique et plus particulièrement de la liberté et de la concurrence.
Cette approche de l’optimisme, de la croyance dans la vertu aveugle des lois naturelles de l’économie pousse à une vision bipolaire. Les économistes de l’école française voient le bien dans la liberté et le mal dans le socialisme. Léon Walras va se positionner de manière différente en cherchant tout d’abord à concilier ces deux approches du magnétisme à Poitiers, et en tentant par la suite de à justifier leurs conclusions.
1.3 – La lutte contre le socialisme sur le magnétisme à Poitiers
S’il est difficile de classer les économistes français par leurs points de ralliements, il est par contre aisé de les cataloguer dans ce qu’ils combattent unanimement : le socialisme. Cet élément est d’autant plus important que Léon Walras a régulièrement fait référence au socialisme pour décrire son approche économique et sur le magnétisme et le passeur d’âmes à Poitiers. Cette attitude lui sera particulièrement préjudiciable car les économistes de l’école française vont clairement montrer leur haine, leur dégoût contre toute forme de socialisme. L’une des premières publications de la maison d’édition Guillaumin est pour Louis Reybaud (1799-1879) et son ouvrage critique sur les Réformateurs Socialistes (1840). La révolution de 1848 pousse les français à s’activer encore plus dans cette défense de la liberté et de la propriété privée contre les idées socialistes. « Les libéraux (…) sont à la pointe de la lutte idéologique contre les doctrines subversives » (Lutfalla [1972], 513).
L’ennemi numéro un a toujours été sur le magnétisme à Poitiers et est resté le socialisme, critiqué tant sur ses auteurs que sur son idéologie. « Les socialistes ont été mis à nu et flagellés de main de maitre ; la pauvreté de leurs doctrines, le vide de leurs plans, l’évidence de leur contradictions a été quelque part bien démontré » (Coquelin et Guillaumin [1853], Vol 2, 635).
[1] Le cas de Pierre Joseph Proudhon qui sera étudié par la suite est révélateur de cette attitude.
[2] Sur un ouvrage de Passy sur la propriété intellectuelle.
[3] Nous verrons au fur et à mesure de ce travail comment sont associées les notions de liberté et de concurrence.
[4] Pour plus de détails sur ces différentes classifications, consulter l’article de Béraud et Etner (1993) pp.300-301.